LE PROJET



Lever l’ancre : du rêve à la réalité

Des récits d’aventures familiales embarquées ont animé nos soirées d’hiver pendant plusieurs années. Bercés par les péripéties des uns et les exploits des autres, nous avons rêvé (spéciales dédicaces à « Histoires de Partir » de Marie et Hervé Nieutin et « Voyage autour du Monde » d’Olivier Mesnier). Pendant quelques années, nous avons évoqué à nos proches l’idée de prendre la mer avec nos filles, le temps d’une année sabbatique. Rétrospectivement, je crois que personne ne nous croyait vraiment.
Les années passant, nos filles ont grandi. Notre aînée, Manon, est entrée en 6ème et nous avons pris conscience que son niveau scolaire ne nous permettrait bientôt plus de réaliser ce rêve. Il devenait urgent de transformer ce rêve en réalité.

Larguer les amarres - ou pas
Le plus difficile n’est pas de larguer les amarres mais de prendre la décision de le faire. Après de longues discussions et quelques nuits blanches, nous nous sommes ralliés à la traditionnelle - mais néanmoins infaillible - méthode des +/-

Pourquoi partir ?
+ Découvrir un « bout du Monde »
+ Transmettre à nos filles le goût du voyage et l’ouverture aux autres
+ Vivre une expérience familiale « extra-ordinaire »
+ Naviguer (sous toutes ses forme : cata, kite, planche, foil, paddle…)
+ Faire des rencontres aussi diverses qu’exceptionnelles
+ S’accorder une parenthèse (mais seulement une parenthèse - nous ne prévoyons pas de monter un business de coquillages sur la plage)
+ Prendre le temps, vivre plus proche de la nature, plus simplement
+ Casser les référents de notre confortable quotidien
+ Repousser les limites et relever un nouveau challenge !

Ce qui aurait pu nous faire rester?
- L’isolement et l’éloignement de nos familles et amis
- La vie en autarcie
- Les tempêtes, pannes moteurs et diverses avaries
- Mettre nos activités professionnelles respectives en veille pendant 11 mois
- Déscolariser nos filles et dispenser une année de Cned à raison de 4h, 6 fois par semaine
- L’inévitable mal de mer


Pourquoi Seaview4?
Sea
Pendant 11mois, la mer et le milieu marin seront notre quotidien

View
- Vue panoramique: notre  bateau, un Open 40, a la particularité d’offrir une vue panoramique sur mer - même à l’intérieur de l’habitacle. La surface de son cockpit est très vaste et son carré totalement vitré.
- Vue aérienne : la vue sur mer sera aussi aérienne car nous embarquons un compagnon volant, baptisé par l’équipage R1D1 en hommage à son cousin R2D2 de l’iconique Star Wars.
Il s’agit d’un drone avec caméra embarquée qui nous permettra de prendre photos et vidéos des paysages et pays parcourus pour partager notre périple autour de l’océan. Restez connectés !
- Vue sous-marine:  la Gopro ne sera pas en reste (R1D1 n’aime pas l’eau), nous tenterons de capter des images sous-marines.

4
- Une aventure humaine et familiale que nous partagerons tous les 4 - pour le meilleur et pour le pire !
- 40 pieds, c'est la longueur du bateau (12m)
- 40 ans: cette année d’aventure est celle de nos 40 ans.
Qu’il fait bon devenir quarantenaire !
Il ne vous aura aussi pas échappé que le "4" , en forme de voile, prend l’air du large.


The crew - Le choix du bateau - Notre nouvelle maison - Voiles Sans Frontières - ARGO